Cetatelier va te permettre d’apprendre Ă  dessiner et de connaĂźtre les bases de la peinture Ă  l’huile, Ă  l’acrylique, Ă  la gouache et Ă  l’aquarelle. Tout le matĂ©riel nĂ©cessaire pour le dessin et la peinture est mis Ă  ta disposition. Vous venez au cours tranquille. Les prix varient selon les sĂ©ances que vous prenez. LeprocĂšs Ă  Soulages. entretien de Pierre Soulages avec Pierre Buraglio. in journal ClartĂ©, Paris, mai 1962. Dans l’appartement de Pierre Soulages, prĂšs du cimetiĂšre Montparnasse – c’est son ancien atelier. Des murs blanchis, des fauteuils noirs, une table « piĂ©gĂ©e » par le temps, des objets en Ă©tain, un monolithe. Vermeeret les maĂźtres de la peinture de genre Ă©crit par Adriaan-E WAIBOER,Blaise DUCOS,Arthur-K Jr WHEELOCK, COLLECTIF, Ă©diteur SOMOGY, livre neuf annĂ©e 2017, isbn 9782757211960. Vermeer, ou . Vermeer, ou . OK. Nous utilisons des cookies pour vous proposer des contenus et services adaptĂ©s. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez Johannesou Jan Van der Meer, dit Vermeer [1], [2] ou Vermeer de Delft [3], baptisĂ© le 31 octobre 1632 Ă  Delft, et inhumĂ© le 15 dĂ©cembre 1675 dans cette mĂȘme ville, est un peintre nĂ©erlandais du mouvement de la peinture de genre nĂ©erlandaise [4].. Actif dans la citĂ© hollandaise de Delft rattachĂ©e Ă  la maison d’Orange, Vermeer semble avoir acquis en son Johannesou Jan Van der Meer, dit Vermeer ou Vermeer de Delft, baptisĂ© Ă  Delft le 31 octobre 1632, et inhumĂ© dans cette mĂȘme ville le 15 dĂ©cembre 1675, est un peintre baroque nĂ©erlandais (Provinces-Unies). Actif dans la citĂ© hollandaise de Delft rattachĂ©e Ă  la maison d’Orange, Vermeer semble avoir acquis en son temps une rĂ©putation d’artiste novateur, et avoir Lesgrands maĂźtres du Nord : DĂ©couvrez la peinture du Nord Ă  travers les chefs-d'Ɠuvre de deux grands maĂźtres du siĂšcle d’or hollandais: Vermeer et Rembrandt. Les dĂ©buts du Louvre : Remontez le temps jusqu’au 12Ăšme siĂšcle pour dĂ©couvrir la crĂ©ation de la forteresse mĂ©diĂ©vale du Louvre et sa transformation en palais. . Dans la région de Liyue, il existe un lieu magnifique avec de nombreux bassins aux eaux turquoise. Ce lieu c’est le lac Luhua et il renferme un gros trésor. Un personnage Géo est nécessaire pour récupérer le butin final. Par oÃÂč commencer ? Parlez tout d’abord à Vermeer, un peindre itinérant. En cherchant le meilleur point de vue, il a perdu une partie de son matériel. Retrouvez les pinceaux et la peinture de Vermeer ! A l’aide des 2 peintures en couleur fournies par Vermeer, vous devez retrouver les lieux d’oÃÂč il a peint et ainsi retrouver sur place son matériel.  Retournez ensuite rendre ce que vous avez trouvé à Vermeer. Trouvez une autre pierre particuliÚre ! Vermeer vous a donné une pierre en récompense qui semble ÃÂȘtre un Å“il pour l’une des statues. Cherchez dans les bassin d’eau devant les statues le 2e Å“il. Percez le secret du lac Luhua Grimpez sur les épaules de chaque statue afin d’insérer la pierre dans leur tÃÂȘte. Le trésor est proche ! L’activation des 2 pierres libÚre un totem Géo entre les deux statues. Activez le pour déclencher un défi durant lequel vous devrez vaincre 3 mages un Pyro, un Cryo et un Hydro en 90 secondes. Une fois terminé, la grille se lÚve et vous pouvez récupérer les trésors. Attention aux araignées qui vous attaquent Bonus Si vous avez vaincu Stormterror, retournez voir Vermeer qui est sur l’un des points de vue voir image ci-dessous pour obtenir un succÚs ! 253Cette peinture de genre de Johannes ou Jan Vermeer reprĂ©sente un peintre en train de rĂ©aliser le tableau qui nous est donnĂ© Ă  voir. Il ne s'agit pas de l'atelier de l'artiste, mais d'une allĂ©gorie de la l'allĂ©gorie de L'Atelier environ 1662-1668, Vermeer mĂ©lange habillement la fixitĂ© et le mouvement. La jeune fille Ă  la couronne de lauriers pose les yeux baissĂ©s elle est donc immobile. Le peintre tourne le dos au spectateur, par consĂ©quent la seule activitĂ© visible est celle de sa main droite en train de peindre la couronne de lauriers sur la toile. Mais elle est saisie au moment de la pause oĂč le peintre a tournĂ© la tĂȘte vers la gauche pour se rendre compte sur son modĂšle, d'aprĂšs nature, quel doit ĂȘtre son prochain coup de est rare qu'une peinture naturaliste, une composition Ă©laborĂ©e et un espace lumineux forment un ensemble aussi harmonieux. Les dĂ©tails rĂ©alisĂ©s avec talent peuvent ĂȘtre admirĂ©s individuellement, sans gĂącher l'impression de sĂ©rĂ©nitĂ© et de paix qui se dĂ©gage de l'espace baignĂ© de a dĂ» travailler Ă  cette peinture pendant des annĂ©es. L'idĂ©e de ce sujet lui a sans doute Ă©tĂ© suggĂ©rĂ©e par les allĂ©gories de la peinture dont on dĂ©corait le nouvel hĂŽtel de la guilde des peintres, au moment mĂȘme oĂč Vermeer en Ă©tait vice-doyen, en 1662 et citer l'article L’Atelier 1662-1668, peinture de Johannes Vermeer », EncyclopĂŠdia Universalis [en ligne], consultĂ© le . URL photo de Septentria – Dans ce bref article, je vais vous exposer tous les arguments dĂ©montrant les avantages de la peinture acrylique, et les rares inconvĂ©nients d’utiliser une telle peinture. Si ce n’est que mon point de vue j’ai pu cependant constater que la peinture Ă  l’eau est beaucoup plus facile Ă  utiliser que la peinture Ă  l’huile et donne au final les mĂȘmes rĂ©sultats si l’on maitrise quelques techniques de bases. Si vous dĂ©butez en peinture, et que vous cherchez avec quelle peinture commencĂ©e, je vous conseille une peinture qui vous conviendra le mieux .Une peinture simple Ă  manipuler et qui nĂ©cessite un minimum d’effort pour vous concentrer sur la rĂ©alisation de vos premiers tableaux. Lorsque j’étais tout petit, j’avais l’habitude de peindre avec de la gouache et Ă  l’école il n’y avait que cela. Lorsque j’ai rĂ©alisĂ© mes premiĂšres toiles mon choix s’est naturellement tournĂ© vers la peinture acrylique, et au dĂ©part j’ai eu aussi ma pĂ©riode oĂč je peignais Ă  l’huile, malheureusement j’en ai gardĂ© un mauvais souvenir. PremiĂšrement parce que je peignais dans un lieu clos, et je n’avais pas de moyen pour ventiler la piĂšce. La peinture Ă  l’huile nĂ©cessite d’utiliser des diluants comme de l’essence de tĂ©rĂ©benthine ou bien du white spirit, et dans une piĂšce qui me servait d’atelier et de piĂšces Ă  coucher c’était plutĂŽt nocif. En plus de cela je rĂ©alisai que la peinture Ă  l’huile sĂ©chait lentement, et qu’il me fallait l’équivalent d’un mois pour finir une toile
la galĂšre! Et mĂȘme en ajoutant du siccatif qui est un accĂ©lĂ©rateur de sĂ©chage, il me fallait prĂšs de 3 heures pour que mes glacis puissent ĂȘtre totalement secs . De plus il fallait que je mette l’essence usagĂ©e dans un bidon pour la passer ensuite dans un tamis pour la rĂ©utiliser, si celle-ci Ă©tait encore potable, bien sĂ»r. Sinon il fallait la jeter dans un bidon rĂ©servĂ© Ă  la dĂ©chĂšterie. Sans compter qu’il fallait ensuite nettoyer les pinceaux dans l’essence, puis les passer dans le savon, rincer et au pire rĂ©pĂ©ter l’opĂ©ration, et je passais plus de temps pour la prĂ©paration et le nettoyage du matĂ©riel qu’à peindre, sans compter les multitudes de fois oĂč j’ai eu des crises d’asthme Ă  cause des vapeurs de tĂ©rĂ©benthine. C’est pour cela que je vais vous dĂ©tailler les 5 grandes raisons de peindre Ă  l’acrylique ou du moins utiliser une peinture Ă  l’eau et il existe mĂȘme maintenant de la peinture Ă  l’huile qui se dilue Ă  l’eau.. point n°1 Pas besoins d’utiliser de diluant ,vous n’avez besoin que d’eau. La peinture acrylique est une peinture qui se dilue Ă  l’eau ,et elle a l’avantage de sĂ©cher trĂšs vite. vous n’avez donc pas besoin d’essence pour nettoyer vos pinceaux ,et cela est fortement recommandĂ© lorsque vous peignez dans un lieu clos ou non ventilĂ©. Pour prĂ©parĂ© vos glacis vous n’aurez besoin que d’eau et d’un mĂ©dium vous n’en avez pas vous pouvez rĂ©aliser vos glacis avec de la biĂšre! Mais n’en abuser pas . Le rendu en peinture est parfois un peu diffĂ©rends, parce qu’une peinture Ă  l’eau ,sĂšche beaucoup plus vite,et vous n’avez probablement pas le temps de travailler certains il vous suffit seulement de maitriser le taux d’humiditĂ© de votre peinture pour la retravailler Ă  volontĂ© ensuite et mĂȘme si cela sĂšche trop vite, il existe des retardateurs que vous pouvez mĂ©langer Ă  votre glacis. Vous pouvez aussi rencontrer des difficultĂ©s Ă  rĂ©aliser des beaux fondus notamment parce que la peinture sĂšche avant que vous ayez terminĂ© de travailler sur toute la surface, et que vous n’avez pas eu le temps de retravailler certaines parties. Mais l’alternative Ă  cela, est d’utiliser des techniques spĂ©cifiques Ă  la peinture acrylique comme la superposition de glacis j’y reviendrais dans mes prochains articles pour vous l’expliquez plus en dĂ©tail ou bien ajoutĂ© Ă  votre prĂ©paration un gel qui retardera le sĂ©chage de la peinture, si vous ĂȘtes dans un environnement chaud et sec . Mais retenons les gros avantages avec la peinture acrylique vous avez besoin d’eau, et vous Ă©conomisez des bidons de white et de tĂ©rĂ©benthine. Le seul investissement que vous pouvez faire est d’acheter du retardateur, et encore vous n’en utiliserez que trĂšs peu ce qui fait que le flacon durera dans le temps. Une fois que votre eau est usĂ©e, vous pouvez la jeter dans les toilettes ou votre Ă©vier en laissant couler l’eau quelques instants, et il n’est pas recommandable de faire la mĂȘme chose si vous jetez de la tĂ©rĂ©benthine ou du white spirit, au risque de salir votre Ă©vier ou vos toilettes Ă  un point tel que vous passerez toute la soirĂ©e Ă  le nettoyer. Photographie de Francesco-Allano Torçy-Blanqui point n°2 Nettoyer ses pinceaux devient un vĂ©ritable jeux d’enfant Comme je l’ai expliquĂ© au dĂ©but de cet article, lorsque je peignais Ă  l’huile il fallait que je rĂ©serve plus de temps pour nettoyer mes pinceaux. La peinture Ă  l’huile est trĂšs grasse et ne peut pas ĂȘtre nettoyĂ©e Ă  l’eau. Dans ce cas il faut plonger les pinceaux dans une essence du type white spirit qui peut diluer et dĂ©graisser vos pinceaux, puis il faut ensuite enlever l’excĂšdent de peinture . Il faut ensuite faire tremper les soies du pinceau dans du savon noir, le faire mousser et rincer Ă  l’eau claire pour Ă©viter que les pinceaux durcissent en sĂ©chant . Mais le plus souvent il faut rĂ©pĂ©ter l’opĂ©ration plusieurs fois pour que le pinceau soit totalement propre. Un vrai cauchemar qui peut vous faire perdre du temps car parfois cela prend une bonne demi-heure pour nettoyer seulement quelques pinceaux . La peinture acrylique se dilue trĂšs facilement dans l’eau . Donc il vous suffit de prendre vos pinceaux une fois le travail terminer et les rincer abondamment dans l’eau en utilisant un peu de savon noir ou du savon de Marseille, et lorsque l’eau devient limpide et que le pinceau ne dĂ©gage plus d’eau colorĂ©e, votre pinceau est propre, et en ayant peint Ă  l’acrylique vous aurez rĂ©alisĂ© que vous avez Ă©conomisĂ© sur tous les points savon eau et temps de nettoyage, c’est un des points forts de la peinture acrylique lorsque vous nettoyez votre matĂ©riels,cependant il faut faire trĂšs attention de ne pas vous tacher car une fois sĂšches les taches d’acryliques sont irrĂ©versibles sur les vĂȘtements, mais je pense que peu de personnes peignent en costume cravate. La peinture acrylique lorsqu’elle est fraiche se nettoie trĂšs facilement, et c’est lĂ  que vous gagnez Ă©normĂ©ment de temps par rapport Ă  la peinture Ă  l’huile. Il vous suffit seulement de tremper les soies de votre pinceau pour les nettoyer avec un peu de savon afin d’enlever le restant de peinture qui pourrait encore se trouver dans les soies et l’opĂ©ration ne prend que deux Ă  trois minutes, contrairement au temps passĂ© Ă  nettoyer vos pinceaux lorsque vous peignez Ă  l’huile. photographie de Christophe Michou Point n°3 Vous contribuez Ă  prĂ©server l’environnement et votre santĂ© Les essences de tĂ©rĂ©benthine et de white spirit sont trĂšs nocives Ă  la fois pour l’environnement et pour la santĂ©. Il n’est pas saint pour vous d’ĂȘtre en contact prolongĂ© avec ces substances. Surtout si vous ĂȘtes dans un lieu clos. Avec la peinture acrylique, il n’y a que trĂšs peu d’odeur qui se dĂ©gage et ces quelques vapeurs ne sont pas nocives. Il est plus facile de se dĂ©barrasser de l’eau usĂ©e , que de jeter des diluants extrĂȘmement toxique pour le milieux naturelle. Lorsque vous jeter du white spirit dans les canalisations, celle-ci passe dans les eaux usĂ©es, cette eau est filtrĂ©e mais des particules nocives seront toujours prĂ©sentes et se dĂ©verseront dans les riviĂšres, ce qui est trĂšs mauvais pour tout le monde. C’est pour cela que les gens qui peignent Ă  l’huile ou Ă  la GlycĂ©ro ont une contrainte supplĂ©mentaire qu’ils doivent s’imposer, ils doivent mettre le white usagĂ© dans un rĂ©cipient et le porter Ă  la dĂ©chĂšterie. Ces diluants toxiques sont bien plus difficiles Ă  se dĂ©barrasser qu’une eau usagĂ©e. Personnellement il m’arrive quand mĂȘme d’utiliser ce type de solvants lorsque je vernis certaines de mes toiles notamment .mais j’en utilise que pour 10 % de mon travail. J’ai Ă  ma disposition dans mon atelier un bidon de 5 litres consacrĂ© au solvant usagĂ© que j’apporte Ă  la dĂ©chĂšterie au bout de 6 mois ou un an. peinture de Christophe Michou Point n°4 Vous gagnez du temps avec la peinture acrylique Un des arguments majeur Ă  retenir en faveur de la peinture acrylique, et qui fait toute la diffĂ©rence avec la peinture Ă  l’huile, est que le temps de sĂ©chage pour l’acrylique est quasiment instantanĂ©. Cela vous fait gagner beaucoup plus de temps sur vos rĂ©alisations plastiques, et vous pouvez mĂȘme dĂ©cider par vous-mĂȘme du temps de sĂ©chage, soit en le prolongeant, en mettant du retardateur, ou bien l’accĂ©lĂ©rer en sĂ©chant la peinture avec un sĂšche-cheveux. C’est une opĂ©ration que ne peut pas faire lorsque vous peignez Ă  l’huile, et vous n’avez pas le contrĂŽle du temps de sĂ©chage. Une peinture Ă  l’huile diluer Ă  l’extrĂȘme avec du white spirit et du siccatif prendra au minimum une demi-heure Ă  trois heures pour sĂ©cher, alors qu’avec de la peinture acrylique cela prend de 20 minutes Ă  une heure en sĂ©chage naturel, et 2 minutes lorsque la peinture est sĂ©chĂ©e artificiellement Ă  l’aide d’un sĂšche-cheveux! Le sĂ©chage Ă©tant accĂ©lĂ©rĂ© vous pouvez rĂ©aliser plus d’étape en un minimum de temps Vous n’avez donc besoin que de deux jours pour rĂ©aliser un travail qui prendrait quinze jours avec de la peinture Ă  l’huile Alors qu’il vous fallait parfois plus d’un mois pour achever une toile en peinture Ă  l’huile, cela vous demandera plus qu’une semaine avec de la peinture acrylique Peinture de Christophe Michou couple de chevaux acrylique sur toile 2014 Point n°5 devenez plus productif grĂące Ă  la peinture acrylique. Dans mes pĂ©riodes les plus fĂ©condes il m’est arrivĂ© de rĂ©aliser jusqu’à plusieurs toiles par jour ! Le plus souvent quand je travaille Ă  la rĂ©alisation d’une toile Ă©laborĂ©e de type hyperrĂ©aliste, je garde en rĂ©serve une autre toile pour mettre l’excĂ©dent de peinture qui il y a sur ma palette Ă  la fin de la journĂ©e, afin d’éviter toutes pertes car un des rares inconvĂ©nients de la peinture acrylique une fois sĂšche, elle ne peut plus ĂȘtre rĂ©utilisable. Au bout de 4 Ă  5 heures cette peinture est perdue .et l’on ne peut plus rien faire avec. rĂ©utiliser la peinture que l’on avait sur sa palette la veille, est malheureusement impossible. C’est la raison qui me motive d’utiliser l’excĂ©dent de peinture sur ma palette pour ne rien perdre. Cette mĂ©thode basĂ©e sur l’économie de la matiĂšre est plutĂŽt un cercle vertueux, car j’ai pu constater que je produisais plus de toiles 
 Certaines compositions simples Ă  rĂ©aliser ne demande que trois heures de travail et le plus souvent je les rĂ©alise en sĂ©rie. Selon l’organisation de mon temps en atelier , il m’arrive de reprendre un travail plus Ă©laborĂ©, et en fin de journĂ©e j’utilise une toile que j’ai mise de cĂŽtĂ© pour “finir la palette de la journĂ©e” et ainsi j’applique sur ma toile mon surplus de peinture. Puis chaque jour en fin de journĂ©e je retravaille cette toile en particulier, et au fil des jours j’élabore mon travail ainsi en parallĂšle des autres toiles que je rĂ©alise. Ainsi au lieu d’avoir rĂ©alisĂ© une toile et avoir de la perte en peinture, j’aurai rĂ©alisĂ© quatre Ă  Cinq toiles dans la semaine sans avoir fait de perte. La peinture acrylique vous sera trĂšs utile si vous manquez de temps et lorsque vous souhaitez rĂ©aliser un maximum de choses en un minimum de temps, et c’est un atout de taille. Et pour les plus impatients d’entre vous, vous aurez la possibilitĂ© de produire beaucoup plus de toiles et voir plus rapidement vos chefs-d’Ɠuvre prendre tournure
 Si cependant vous n’ĂȘtes pas satisfait par la peinture acrylique par son manque de souplesse il existe une alternative encore peu connue qui est la peinture Ă  l’huile diluable Ă  l’eau, qui ce travail comme une peinture Ă  l’huile avec toutes les caractĂ©ristiques et le temps de sĂ©chage de la peinture acrylique. Avec le mĂȘme rendu, et la mĂȘme glisse sur le support que la peinture Ă  l’huile, et que l’on ne retrouve pas avec l’acrylique, cette peinture sĂšche vite une fois diluĂ© Ă  l’eau . Cela peut vous servir en complĂ©ment de la peinture acrylique , aussi vous pouvez la mĂ©langer avec cette derniĂšre pour avoir un rendu pareil Ă  la peinture Ă  l’huile classique avec le net avantage du sĂ©chage rapide. Alors c’est le moment idĂ©al pour vous mettre Ă  la peinture Ă  l’eau 
Et vous pourrez produire beaucoup plus de toiles que vous l’auriez imaginĂ© auparavant. La peinture est de plus en plus proche de la poĂ©sie, maintenant que la photographie l’a libĂ©rĂ©e du besoin de raconter une histoire. » Georges Braque De la peinture murale Ă  la peinture Ă  l’huile, l’histoire des arts a largement Ă©voluĂ© et connu de nombreux bouleversements. Comme toutes les pratiques artistiques, elle a Ă©galement connu son lot de grands noms, de scandales, et autres oeuvres remarquables. Une richesse sans prĂ©cĂ©dent, qui place l'art comme un univers aussi foisonnant que difficile Ă  apprĂ©hender lorsqu'on est nĂ©ophyte. Avec des mouvements et courants artistiques comme le classicisme, le romantisme, le symbolisme, la peinture flamande, le pop art ou autres, la peinture française et internationale n’a cessĂ© de se transformer et voir passer de grands chefs d’oeuvre comme le Radeau de la mĂ©duse, Guernica, ou encore la Joconde. Oui, mais au-delĂ  de ces noms trĂšs connus, on ne maĂźtrise pas toujours les contours de la pratique artistique, mais surtout de ce qu'elle a reprĂ©sentĂ©e dans l'Histoire, dans la vie des peintres, ou encore dans les consĂ©quences qu'elle a pu avoir sur nos modes de vies quotidiens. Pas de panique, nous sommes lĂ  pour dĂ©blayer le terrain ! Aujourd’hui, environ 6 français sur 10 affirment se rendre au musĂ©e au moins une fois par mois. L’occasion de dĂ©couvrir ou redĂ©couvrir les artistes français, les grands maĂźtres de la Renaissance italienne ou encore les huiles sur toile du mouvement cubiste. Alors MusĂ©e du Louvre, MusĂ©e d’Orsay ou centre Pompidou, n’hĂ©sitez pas Ă  vous perdre dans les grands musĂ©es nationaux Ă  la dĂ©couverte de l’histoire. En attendant, pour ne pas vous sentir trop perdue dans ces grands dĂ©dales de couloirs en tous genres, petit tour d'horizon de ce que l'histoire de la peinture a de meilleur ! Les meilleurs professeurs de Dessin disponibles5 18 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !4,8 4 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 5 avis 1er cours offert !5 10 avis 1er cours offert !5 18 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !4,8 4 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 5 avis 1er cours offert !5 10 avis 1er cours offert !C'est partiLa prĂ©histoire et les prĂ©mices de la peinture Les impressionnistes vous impressionnent ? Les cubistes vous laissent de marbre ? Vous vous demandez comment la chapelle Sixtine a Ă©tĂ© peinte ? Chaque chose en son temps ! Avant de se pencher sur de tels sujets, il convient de se demander comment la peinture est nĂ©e ! La peinture est beaucoup plus vieille que l’on peut le penser. Les hommes prĂ©historiques ont commencĂ© Ă  peindre lors de la pĂ©riode MagdalĂ©nienne, Ă  environ 17 000 Ă  10 000 ans avant JĂ©sus-Christ. C'est dire Ă  quel point cette pratique artistique nous donne du fil Ă  retordre ! Les hommes ne connaissaient alors que trois couleurs l’ocre jaune, l’ocre rouge et le noir charbon. Aujourd'hui, cela nous semble fou, mais pourtant, des merveilles Ă©taient faites avec ces pigments. Ces couleurs Ă©taient extraites de matiĂšres comme le manganĂšse ou encore le fer. Dame Nature a toujours le dernier mot ! Les premiĂšres peintures Ă©taient rĂ©alisĂ©es dans des grottes. Mais Ă  l’époque, pas question de peindre des portraits ou des natures mortes, encore moins des scĂšnes de guerre ou des beaux bĂątiments. Loin s'en faut ! Les hommes de la prĂ©histoire peignaient essentiellement des animaux comme des chevaux, des bisons ou encore des mammouths. Une peinture beaucoup plus proche de la rĂ©alitĂ© et des prĂ©occupations quotidiennes. Afin de donner quelques effets de reliefs Ă  leurs rĂ©alisations, les hommes utilisaient les bosses ou les creux naturels des parois sur lesquelles ils peignaient. Eh oui, les pinceaux n'Ă©taient Ă©videmment pas ceux que l'on connaĂźt aujourd'hui dans toute leur variĂ©tĂ© ! Rituel ou simple expression artistique, les grandes peintures rupestres font encore l’objet de grandes investigations archĂ©ologiques. Les plus grandes traces de la peinture prĂ©historiques se trouvent notamment en France et en Espagne, avec notamment les cĂ©lĂšbres grottes de Lascaux. Qui n'en a jamais entendu parler ? Bien Ă©videmment, elle s'est imposĂ©e comme un trĂ©sor, dĂ©couverte le 12 septembre 1940 par des adolescents, avant qu'ils ne dĂ©cident d'en parler Ă  leur instituteur un monument pictural et historique Ă©tait trouvĂ© ! Un monument vieux de 18000 ans, rien que ça ! Mais si la peinture a fait ses timides dĂ©buts lors de la prĂ©histoire, elle ne s'est pas arrĂȘtĂ©e en si bon chemin, non non ! L'Histoire l'a suivie ! Trouvez un cours de peinture geneve ici. La peinture durant l’AntiquitĂ© Quand la peinture et l'histoire se rencontrent, cela donne un beau pan de l'art ! L'antiquitĂ© est l'aristocratie de l'histoire - Alexandre Dumas La peinture Ă©volue avec le temps, mais les supports restent. À l’AntiquitĂ©, les Grecs peignent encore sur les murs afin de dĂ©corer les villas et autres Ɠuvres architecturales. Encore loin de la perspective telle qu'on la connaĂźt aujourd'hui, les motifs reprĂ©sentent des humains, des animaux ou des Ă©difices souvent Ă  caractĂšre religieux ou Ă©voquant certains sacrifices ou rituels. Un changement propre Ă  l'Ă©volution sociĂ©tale, qui place aussi la peinture non comme un repĂšre, mais comme un marqueur de son temps, Ă  la lumiĂšre de notre Ă©poque. La peinture grecque est aussi largement connue pour avoir dĂ©corĂ© toutes sortes de cĂ©ramiques, que l'on retrouve dans certains musĂ©es contemporains. Les couleurs noire et rouge sont notamment utilisĂ©es pour peindre la vie quotidienne de l’époque. Un style qui influencera par la suite la peinture romaine. En Italie, les peintures dĂ©corent essentiellement les grandes villas grĂące aux reprĂ©sentations de paysages ou bien les dĂ©buts du trompe-l’Ɠil. Et effectivement, les deux cultures se rĂ©pondent avec efficacitĂ©, notamment lors des conquĂȘtes d'Alexandre le Grand. Lorsque ce dernier Ă©tend son territoire, il l'ouvre aux cultures voisines, notamment celle de la pĂ©ninsule italienne. Les vases communicants commencent Ă  faire leur effet les deux cultures communiquent, jusque dans la peinture. Le moyen age et l’art des manuscrits Le Moyen Âge est une pĂ©riode faste dans l'Ă©volution de la peinture. Une pĂ©riode de transition, qui a permis d'ouvrir la porte ! Si l'art prend une place de choix Ă  l'AntiquitĂ©, la peinture au Moyen-Âge n’est encore que trĂšs peu rĂ©pandue dans la vie quotidienne. Celle-ci ne sert souvent qu’à la religion pour illustrer les grands manuscrits comme le livre d’Heures, un livre destinĂ© aux fidĂšles catholiques afin de savoir Ă  quel moment de la journĂ©e prier et quelles priĂšres suivre. Ce qu'il faut retenir de cette pĂ©riode, lorsqu'on parle de peinture, est que cette derniĂšre Ă©tait principalement religieuse. Son enjeu Ă©tait de diffuser la culture et la religion chrĂ©tienne, et cela passait donc, en toute logique, par les lieux comme les Ă©glises. On essaie, aujourd'hui, de restaurer tant bien que mal ce qui nous en reste ! Les enluminures sont alors les principales dĂ©monstration d’art mĂ©diĂ©val, cohabitant avec les peintures sur bois et les fresques. Car oui, un peu plus tard au Moyen Âge, on commence Ă  peindre sur des plaques de bois. Les parchemins sont encore utilisĂ©s mais ces panneaux de bois servent plus ou moins de toiles pour l’époque. Les sujets sont alors de plus en plus rĂ©alistes et les artistes tentent de retranscrire la perspective. Giotto di Bondone et Cimabue sont notamment connus pour ĂȘtre de grands artistes de la peinture mĂ©diĂ©vale. Concernant les couleurs, Ă  la diffĂ©rence de la prĂ©histoire, celles-ci se sont dĂ©mocratisĂ©es, et la pĂ©riode mĂ©diĂ©vale en retient cinq le jaune, le bleu, le noir, le blanc, le rouge et le vert. Chacune d'entre elle possĂšde une portĂ©e symbolique par exemple, le bleu signifiait, dans une peinture, la loyautĂ© et la justice. PlutĂŽt idĂ©al pour faire passer des messages Ă  ses contemporains, non ? Et si, Ă  cette pĂ©riode, les peintres Ă©taient considĂ©rĂ©s comme de simples artisans, leur place va prendre un intĂ©rĂȘt grandissant au fil de l'Histoire. Les meilleurs professeurs de Dessin disponibles5 18 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !4,8 4 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 5 avis 1er cours offert !5 10 avis 1er cours offert !5 18 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !4,8 4 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 8 avis 1er cours offert !5 5 avis 1er cours offert !5 10 avis 1er cours offert !C'est partiLa renaissance les dĂ©buts des toiles Fra Angelico est l'un des plus grands peintres de la Renaissance. La pĂ©riode de la Renaissance est pour la peinture une vĂ©ritable rĂ©volution, tant sur le plan technique que de la pensĂ©e. Les artistes peintres se dĂ©tachent peu Ă  peu de la seule image religieuse pour reprĂ©senter le monde qui les entoure en rĂ©alisant notamment des portraits. À l’image de LĂ©onard de Vinci, les sciences entrent dans l’art. De Vinci utilisera notamment les sciences pour Ă©tudier l’anatomie du corps humain et reprĂ©senter des personnes de maniĂšre plus rĂ©alistes. En parallĂšle, les artistes ne deviennent plus de simples artisans, mais bel et bien des personnalitĂ©s Ă  part entiĂšre, dont on parle encore de nos jours. Des personnalitĂ©s aux idĂ©es bien arrĂȘtĂ©es, marquant l'avĂšnement de l'humanisme. S'il faut retenir quelque chose de la peinture de la Renaissance, c'est pourtant bien que les thĂšmes et les pensĂ©es humanistes comme la libertĂ© de pensĂ©e ou l'Ă©ducation qui sont les piliers et les pivots ! de l'histoire de la peinture. L’apparition de la toile change le rapport Ă  l’exercice de la peinture. Bien que les supports en bois continuent d’ĂȘtre utilisĂ©s, la toile est peu Ă  peu employĂ©e par les artistes. C’est Ă©galement le dĂ©but de la peinture sur chevalet. Cela va ressembler de prĂšs ou de loin Ă  un outil supplĂ©mentaire pour travailler la technique et le rendu global. La perspective commence alors Ă  apparaĂźtre dans les reprĂ©sentations, marquant cette rĂ©flexion sur la technique. Fra Angelico, Andrea Mantegna, Le Tintoret, Sandro Botticelli, RaphaĂ«l, LĂ©onard de Vinci, Michel-Ange, les grands artistes de l’époque sont majoritairement italiens, bien que l’école de la peinture hollandaise rĂ©ussie Ă  se faire un nom. Le nord de l’Europe est alors marquĂ© par des peintres comme Lucas Cranach l'Ancien ou encore Pieter Brueghel l'Ancien. Qui n'a jamais rĂȘvĂ© devant un tableau de Leonard de Vinci ? Il fait partie intĂ©grante de l'Histoire de la peinture ! La Haute Renaissance comprise entre 1500 et 1530 est une pĂ©riode considĂ©rĂ©e comme l’apogĂ©e de la peinture. LĂ©onard de Vinci vient s’installer en France sous les ordres de François 1er et dĂ©veloppe avec brio la technique du sfumato donnant plus de libertĂ© dans les finitions des Ɠuvres. Les dĂ©tails sont moins prĂ©cis et les artistes entrent dans le style du maniĂ©risme. Une façon d’annoncer le style baroque des annĂ©es Ă  venir. Pourquoi ne pas dĂ©couvrir l'histoire de la peinture grĂące aux cours de dessin en ligne ? La peinture baroque et rococo Au dĂ©but du XVIIĂšme siĂšcle, les peintres se dĂ©tachent considĂ©rablement des peintures de la Renaissance, et crĂ©ent ce qu’on appellera la peinture baroque. De maniĂšre assez simple, la peinture baroque est nĂ©e en Italie, et place les dĂ©tails comme le socle de tout. Ces mĂȘmes dĂ©tails viennent alors s'accompagner de la perspective, et des effets de luminositĂ©. Un trio gagnant, en somme ! Parmi les autres caractĂ©ristiques de la peinture baroque, on pourrait Ă©voquer les personnages sans cesse en mouvement, ou encore l'expression dĂ©cuplĂ©e des sentiments, et la grandeur de Dieu. Car la peinture baroque a une origine religieuse ! En effet, si la peinture baroque a existĂ© et existe aujourd'hui dans les livres d'art, c'est parce que le Concile de Trente a apposĂ© une mission de la plus haute importance aux artistes et Ă  l'art en gĂ©nĂ©ral rameuter les protestants et les protestantes de leur cĂŽtĂ©. Il faut ainsi compter de nombreux artistes aujourd’hui reconnus parmi les plus grands peintres de l’histoire comme Le Caravage, Rembrandt, Rubens, VĂ©lasquez, Poussin, Georges de La Tour, Vermeer, Et bien d'autres encore ! Les peintures du peintre Le Caravage sont notamment trĂšs caractĂ©ristiques de la peinture baroque. Contrairement aux tableaux de la Renaissance, les peintures baroques reprĂ©sentent les faits au moment les plus tragiques. Les artistes ne se censurent pas et utiliser les jeux d’ombres et de lumiĂšre et les couleurs afin de renforcer les Ă©motions impliquĂ©es dans la toile. Regardez, contemplez une toile du Caravage, vous verrez, c'est saisissant ! Les historiens de l’art notent particuliĂšrement l’invention de la technique du clair-obscur mettant en avant certains dĂ©tails des personnages grĂące Ă  l’éclairage d’une bougie ou autre. Les contrastes sont trĂšs forts et les tableaux plutĂŽt sombres. Ces Ă©lĂ©ments sont tout Ă  fait significatifs et reprĂ©sentatifs de la peinture baroque. Un peu plus tard, le style rococo envahit l’Europe. Cette fois, le style doit ĂȘtre lĂ©ger et parfois mĂȘme Ă©rotique. VĂ©ritable style dĂ©coratif utilisĂ© aussi bien en peinture que pour la confection de meubles, le style rococo sĂ©duit la cour royale et les nobles. Watteau, Chardin ou encore Fragonard en sont les principaux reprĂ©sentants en France, et sont souvent reproduits en dessin classe. On reconnaĂźt la peinture rococo Ă  ses couleurs pastel, Ă  ses formes plutĂŽt incurvĂ©es, et Ă  ce qu'elle reprĂ©sentent au sein de ses tableaux. En effet, cette derniĂšre met en scĂšne de longues promenades, des parties de campagne ou encore des scĂšnes pastorales. Parmi les modĂšles en la matiĂšre Jean-Antoine Watteau nĂ© en 1684 et mort en 1721 OĂč trouver des cours de dessin lausanne ? Fragonard fait partie des grands peintres de l'esprit rococo. Du nĂ©oclassicisme au rĂ©alisme Le XIXĂšme siĂšcle fut trĂšs mouvementĂ© en terme de mouvements artistiques. Les styles et mouvements se succĂšdent les uns et les autres et marquent le siĂšcle comme l’un des plus importants de l’histoire de l’art. Pour rĂ©sumer, le courant nĂ©oclassiciste apparaĂźt Ă  Rome, entre 1760 et 1770. Et s'il se place au XIX Ăšme siĂšcle, c'est parce qu'il se dĂ©veloppe jusqu'en 1830 environ ! Le nĂ©o-claciscisme de Jacques-Louis David Vers la fin du XVIIIĂšme siĂšcle, de nombreux peintres Ă©prouvent le dĂ©sir de revenir Ă  la simplicitĂ©. Aux frivolitĂ©s, Ă  la fantaisie de l’esprit rococo et au cĂŽtĂ© sombre du mouvement baroque, les peintres dĂ©cident de reprendre les caractĂ©ristiques d’une peinture plus classique. Cela passe par, selon eux, des thĂšmes plus nobles. En pleine pĂ©riode de LumiĂšres, le mouvement nĂ©o-classique apparaĂźt notamment au moment oĂč l’on redĂ©couvre les ruines de PompĂ©i. Le style antique devient alors un modĂšle pour les artistes dĂ©sireux de revenir aux sources de l’art. Les personnages se font beaucoup moins nombreux, on retrouve dans les toiles des motifs plus gĂ©omĂ©triques, les gestes sont plus Ă©loquents, et les corps sont davantage inspirĂ©es par la prĂ©cision des statues grĂ©co-romaines. De la prĂ©cision, de la simplicitĂ©, que reprĂ©sentent David, GuĂ©rin ou Peyron. Le mouvement artistique s’essouffla peu Ă  peu pour laisser place au romantisme. Trouvez votre cours de dessin genĂšve ici pour tout savoir sur l'histoire de l'art. Le romantisme d’EugĂšne Delacroix Le mouvement romantique a Ă©tĂ© l’un des plus marquants des mouvements artistiques de l’histoire de l’art. On lui attribue une naissance allemande, aux alentours de 1795, Ă  partir de la littĂ©rature. Car oui, le romantisme prend sa source dans les livres, mais surtout dans l'imaginaire et dans la nature. De grands peintres comme EugĂšne Delacroix, ThĂ©odore GĂ©ricault, ou encore Francisco de Goya ont fait partie de ce mouvement faisant aussi appel aux sentiments et Ă  la mĂ©lancolie. Les tableaux reprĂ©sentent souvent des paysages ou des Ă©vĂ©nements dans lesquels la nature reprend ses droits. Le mouvement reflĂšte la volontĂ© de montrer que la nature est plus forte que l’humanitĂ©. On admire alors des tableaux de massacres, de naufrages, etc. L'artiste se place alors sur le devant de la scĂšne avec ses Ă©motions, et permet Ă  tout un chacun notamment de nos jours de mieux comprendre le quotidien de l'Ă©poque ! Une reprĂ©sentation subjective de la rĂ©alitĂ©, qui devient aujourd'hui, un tĂ©moin objectif de l'Histoire de la peinture. Le rĂ©alisme de Gustave Courbet C'est effectivement Gustave Courbet qui donne naissance au rĂ©alisme en peinture. NĂ© aprĂšs la rĂ©volution de 1848, il s'Ă©tend jusqu'Ă  la fin du siĂšcle, et s'inscrit dans la contradiction avec les romantiques. Car oui, le rĂ©aliste veut, comme son nom l'indique, reprĂ©senter la rĂ©alitĂ© avec le plus d'objectivitĂ© possible ! Mais il ne s'agit pas seulement de faire un copiĂ©-collĂ© de ce qu'il voit ! Le peintre a pour ambition de retranscrire les moeurs de son Ă©poque, Ă  travers la rĂ©alitĂ© des faits. On y perçoit alors des scĂšnes de la vie courante, ou encore des peintures d'histoire, ou des natures mortes. Telles de vĂ©ritables photographies d’époque, le mouvement rĂ©aliste tend donc Ă  tĂ©moigner de la vie et des Ă©vĂ©nements d’actualitĂ©s. Loin de l’imaginaire et de l’esthĂ©tique du mouvement romantique, les peintres rĂ©alistes souhaitent, en pleine moitiĂ© du XIXĂšme siĂšcle, remettre l’humain au cƓur des tableaux. L’évolution sociale, la vie quotidienne, l’arrivĂ©e des machines, les peintures rĂ©alistes permettent de rĂ©aliser une belle photographie de la vie du XIXĂšme siĂšcle. Mais avec l’arrivĂ©e de la photographie vers la fin du XIXĂšme siĂšcle, les artistes n’ont plus besoin de peindre ce qui les entoure de maniĂšre rĂ©aliste. La peinture se transforme alors peu Ă  peu en devenant avant tout un moyen d’expression. OĂč trouver des cours de peinture lausanne ? Courbet peignait les Ă©vĂ©nements sociaux de l'Ă©poque. La peinture moderne et contemporaine La peinture moderne et contemporain est un pan capital de l'histoire de la peinture, qui se dĂ©coupe en plusieurs styles, en plusieurs pĂ©riodes, et en plusieurs artistes majeurs. En 1872, Claude Monet expose au Salon des RefusĂ©s son tableau Impression soleil levant ». TrĂšs dĂ©calĂ© des codes acadĂ©miques de l’époque, les critiques se moquent de ce tableau qui marquera pourtant le dĂ©but de la peinture moderne. Une peinture rĂ©alisĂ©e en extĂ©rieur et qui permet de reproduire des moments de vie qui peuvent paraĂźtre sans importance Ă  cĂŽtĂ© des grands Ă©vĂ©nements peints tout au long de l’histoire de la peinture. Et pourtant, c'est cela qui va faire le sel de cette peinture ! Le mouvement impressionniste est nĂ© ! S’en est suivi de nombreux tableaux et artistes dĂ©veloppant ainsi l’esprit de la peinture moderne. CĂ©zanne, Gauguin et Van Gogh continuent ainsi de reprĂ©senter des paysages et natures mortes en tout genre. La fauvisme mais aussi l’école de Pont-Aven viennent renforcer l’idĂ©e que la peinture moderne a dĂ©finitivement trouvĂ©e sa place. Quelques annĂ©es plus tard, la peinture contemporaine fait son apparition avec notamment le trĂšs reconnu Pablo Picasso. Avec son tableau Les Demoiselles d’Avignon », Picasso marque l’histoire grĂące Ă  sa peinture dĂ©construite, sans perspective, ni proportion humaine. Ainsi, l’artiste fonde les bases de ce qu’on appelle le cubisme. Avec son ami Georges Braque, ils prennent plaisir Ă  inventer leur propres limites. Et c'est peut-ĂȘtre lĂ  le propre de l'art pictural. Parfois, la peinture a bien plus de choses Ă  nous dire qu'on pourrait le penser. Et cela passe notamment par les grands noms qu'elle a traĂźnĂ© avec elle au fil de l'histoire. S’en suivent l’art abstrait de Kandinsky, le dadaĂŻsme de Marcel Duchamp et Francis Picabia ou encore le surrĂ©alisme de Dali et Magritte. Des mouvements artistiques qui marqueront Ă  jamais l'histoire de l'art du XXĂšme siĂšcle. À la fin des annĂ©es 1970, des mouvements europĂ©ens comme le nĂ©o-expressionnisme ou Nouveaux Fauves, ou encore Figuration Libre en France font leur apparition. L'idĂ©e ? Peindre sur des grands formats, laisser sa libertĂ© s'exprimer. Ce style connaĂźt un grand intĂ©rĂȘt de la part des publics, et aujourd'hui encore, il n'a de cesse d'ĂȘtre reprĂ©sentĂ©. Aujourd'hui, l'art numĂ©rique se dĂ©veloppe, au mĂȘme titre que, ça et lĂ , l'art naĂŻf, l'abstraction graphique, l'hyperrĂ©alisme, ou encore l'Op'art l'art optique, via, notamment les illusions d'optique, qui s'Ă©loignent de la peinture. Une palanquĂ©e de nouvelles techniques, qui ne demandent qu'Ă  ĂȘtre explorĂ©es par les artistes, mais aussi et surtout par nous ! La peinture est donc bien autre chose que ce qu'on pourrait s'imaginer Ă  travers des grands noms. Certes, ces derniers ont contribuĂ© Ă  faire de ce que l'on en connaĂźt aujourd'hui un domaine d'exception, mais il se trouve que l'Histoire de la peinture est bien plus riche qu'on pourrait le croire. En traversant les siĂšcles, elle a aussi traversĂ© la sociĂ©tĂ© et toutes ses classes. Et rien que pour ça elle vaut le coup d'oeil, non ? JOHANNES VERMEER VAN DER MEER DE DELFT PremiĂšre partie Pour peu qu'on ait approfondi l'Ă©tude de l'art ancien, qu'on ait fouillĂ© les vieilles archives, feuilletĂ© les livres de comptes des princes, des villes ou des États, parcouru les rĂŽles des corporations et les listes des acadĂ©mies, il est bien rare qu'on ait pu se dĂ©fendre d'un mouvement d'Ă©tonnement d'abord, puis d'inquiĂ©tude et de malaise, Ă  la rĂ©vĂ©lation d'une quantitĂ© Ă©norme d'artistes de tout Ă©tat, gens de mĂ©rite probable, de valeur certaine, honorĂ©s par leurs confrĂšres, estimĂ©s de leurs contemporains, souvent mĂȘme distinguĂ©s par les princes ou par les rois, et qui nous sont aujourd'hui Ă  peu prĂšs inconnus. — Hommes de talent dont les noms parvenus accidentellement jusqu'Ă  nous ne nous disent rien, car nous n'avons pas la moindre notion des qualitĂ©s ou des dĂ©fauts qui ont bien pu caractĂ©riser leurs Ɠuvres. Il se produit, en effet, dans toutes les Ă©coles un phĂ©nomĂšne singulier. L'histoire de l'art, au bout d'un temps relativement trĂšs court, se synthĂ©tise. Les rayons lumineux qu'elle projette ne s'arrĂȘtent plus que sur un nombre limitĂ© de tĂȘtes spĂ©cialement favorisĂ©es; les autres restent plongĂ©s dans une ombre qui va toujours s'Ă©paississant, et que chaque annĂ©e qui s'Ă©coule rend plus obscure. Fait plus regrettable encore, les Ɠuvres de ces infortunĂ©s subissent le mĂȘme sort que leur nom. Elles disparaissent peu Ă  peu de la circulation, et quand elles ne sont pas brutalement dĂ©truites, elles sont dĂ©naturĂ©es, elles changent d'Ă©tiquette et passent au compte d'autres artistes mieux cotĂ©s. La constatation de ce mĂ©fait ne date pas d'hier. Personne n'ignore, Ă©crivait en 1808 le chevalier de Burtin1, qu'en effaçant les noms un vil manĂšge a dĂ©jĂ  plongĂ© dans l'oubli le souvenir de maint excellent artiste ancien dont on ne retrouve plus, ou presque plus de traces, sinon dans les ouvrages des biographes, qui nous ont transmis les justes Ă©loges qu'ont mĂ©ritĂ©s de leurs contemporains parmi tant d'illustres concurrents beaucoup de peintres dont on ne connaĂźt plus les ouvrages aujourd'hui.» C'est ainsi que la spĂ©culation dĂ©pouille certains artistes de la part de gloire Ă  laquelle ils ont droit, en attribuant uniformĂ©ment leurs Ɠuvres Ă  un rival dont la signature fait prime, et Ă  cinquante ans de distance une gĂ©nĂ©ration touffue de peintres et de sculpteurs, qui comptait par centaines les hommes de talent, semble se rĂ©sumer en une douzaine de producteurs qui, seuls, demeurent connus et apprĂ©ciĂ©s du public. Le plus souvent, il est vrai, celui qui constate cette Ă©trange absorption essaye de se consoler de cette disparition singuliĂšre, en se persuadant que ceux qui n'ont pas survĂ©cu n'Ă©taient pas nĂ©s viables. En vain l'estime dont ils ont joui dans leur temps vient-elle protester contre un jugement si lestement formulĂ©. En vain objecte-t-on les prix relativement Ă©levĂ©s payĂ©s pour leurs Ɠuvres, le goĂ»t avĂ©rĂ© de leurs protecteurs, la haute considĂ©ration dont les entouraient leurs confrĂšres, on trouve toujours quelque bonne raison pour s'abuser sur leur compte, quelque motif ingĂ©nieux pour expliquer leur Ă©clipse, jusqu'au jour oĂč l'apparition subite d'un chef-d'Ɠuvre inattendu vient renverser le pĂ©nible Ă©chafaudage de ces suppositions malveillantes, et attester que le pauvre mĂ©connu Ă©tait sinon un artiste de gĂ©nie, du moins un ouvrier d'un merveilleux talent. C'est lĂ  le cas de Johannes Vermeer, dont nous allons essayer de retracer la Rien n’est Ă  la fois plus instructif et plus curieux que l'histoire de ce grand peintre mĂ©connu. De son vivant, il fut apprĂ©ciĂ© comme artiste et honorĂ© comme homme. Dirk van Bleyswijck, secrĂ©taire du magistrat de la ville de Delft, personnage considĂ©rable par consĂ©quent, voulant consacrer pour la postĂ©ritĂ© les gloires de sa ville natale, publia, en 1667, un Ă©norme volume de prĂšs de 1,000 pages, sous le nom de Description de la ville de Delft2, et, parmi les artistes qui faisaient honneur Ă  la citĂ©, il mentionne Johannes Vermeer, quoiqu'il fĂ»t encore un jeune homme, et, quoique discret et rĂ©servĂ© autant qu'un fonctionnaire public doit l'ĂȘtre, Bleyswijck se soit montrĂ© trĂšs avare de renseignements sur les Delvenaars, vivant encore au temps oĂč il Ă©crivait. De son cĂŽtĂ©, Arnold Bon, l'Ă©diteur de la Beschryvinge, libraire bien posĂ©, mais poĂšte Ă  ses heures, et du reste trĂšs mauvais poĂšte3 ayant estimĂ© qu'il Ă©tait de son devoir d'Ă©crire une piĂšce de vers pour dĂ©plorer la mort de Carel Fabritius, crut indispensable de citer notre peintre comme un de ceux qui pouvaient sinon faire oublier, du moins remplacer dans une certaine mesure le phĂ©nix», c'est ainsi qu'il appelait Fabritius, et qui, en attendant, marchaient le plus dignement sur ses traces. Partageant Ă  l'Ă©gard de leur jeune confrĂšre l'estime dont Bleyswijck et Arnold Bon donnaient des preuves publiques, les membres de la corporation des peintres de Delft, les maĂźtres de la gilde de Saint-Luc, firent Ă  plusieurs reprises, de Johannes Vermeer un de leurs doyens. Enfin quand des Ă©trangers de marque traversaient la ville de Delft, on les conduisait voir l'atelier de notre peintre. A Delphes sic, Ă©crit Balthazar de Monconys, je vis le peintre Vermer, qui n'avait point de ses ouvrages; mais nous en vismes chez un boulanger, qu'on avait payĂ© six cens livres, quoiqu'il n'y eut qu'une figure4...» N'avoir point de tableaux dans son atelier, vendre ses Ɠuvres un bon prix, ĂȘtre visitĂ© par les Ă©trangers, honorĂ© de la confiance des artistes ses confrĂšres, chantĂ© par les poĂštes, enregistrĂ© par les historiens, si ce n'est pas lĂ  de la notoriĂ©tĂ©, mieux que cela mĂȘme, de la cĂ©lĂ©britĂ©, je demanderai ce que cela peut bien ĂȘtre. Il semble donc qu'avec de pareils atouts dans son jeu on soit sĂ»r de passer Ă  la postĂ©ritĂ©. Eh bien, non. — A peine Vermeer est-il mort que sa trace se perd, son nom s'oublie, son Ɠuvre se disperse. Il ne faut pas vingt ans pour que cette renommĂ©e, en apparence si bien assise, s'Ă©vanouisse complĂštement. Houbraken5, le Vasari de l'Ă©cole hollandaise, si gĂ©nĂ©reux envers nombre d'artistes qui ne le mĂ©ritent guĂšre, conteur si prolixe d'histoires plus ou moins authentiques, biographe qui prend de toutes mains et accepte pour exacts tous les rĂ©cits qu'on lui fait, Houbraken ne parle mĂȘme pas de lui, ne cite mĂȘme pas son nom. Chez Campo Weyermann6, il n'en est pas plus question que s'il n'avait jamais peint, et Van Goll ignore mĂȘme qu'il existe de ses Ɠuvres7. En France, Ă  plus forte raison, mĂȘme oubli et mĂȘme silence. Ni Decamps8, ni de Piles9, ni l'auteur anonyme des Anecdotes des beaux-arts10, si remplies de commĂ©rages sur le compte des maĂźtres hollandais, ne semblent avoir eu la moindre connaissance de son nom et de ses ouvrages. En Allemagne, c'est tout de mĂȘme. Fiorillo11, dans les quatre volumes qu'il consacre Ă  la peinture hollandaise et flamande, ne mentionne pas une seule fois le nom de Vermeer, et Fusslin12 avant lui avait Ă©tĂ© tout aussi rĂ©servĂ©. Ce fut seulement en 1816 que les deux auteurs hollandais de l'Histoire de la peinture nationale13 essayĂšrent de protester contre cette ingratitude et tentĂšrent en faveur du maĂźtre de Delft un essai de rĂ©habilitation biographique. Mais Ă  ce moment la trace de notre peintre Ă©tait si bien perdue, qu'il n'Ă©tait mĂȘme plus en possession de son nom. Comme le constatent ses deux biographes de 1816, on le nommait dĂ©jĂ  communĂ©ment Van der Meer, et mieux Van der Mer de Delft Delft-schen Van der Meer pour le distinguer des deux Jean Van der Meer de Haarlem, le vieux et le jeune, et de Jean Van deer de Schoonhoven, qui habita Utrecht, et fut non seulement peintre, mais encore conseiller municipal de cette ville et receveur des convois et licences de la navigation14. Quant Ă  des dĂ©tails personnels sur Vermeer, Van Eynden et Van der Willigen n'en connaissent point d'autres que ceux donnĂ©s par Bleyswijck, et que nous connaissons dĂ©jĂ . S'ils ajoutent quelque particularitĂ© bibliographique, on peut ĂȘtre sĂ»r qu’elle est de leur invention, et dĂšs lors qu’elle est erronĂ©e. C’est ainsi qu’ils prennent prĂ©texte d’une vente qui eut lieu Ă  Amsterdam, le 16 mai 1696, et oĂč l’on rencontre vingt et un tableaux de Vermeer, pour prĂ©tendre qu’il mourut Ă  Amsterdam cette annĂ©e-lĂ , et que cette vente est celle de l’artiste lui-mĂȘme, sa vente aprĂšs dĂ©cĂšs. — Nous verrons tout Ă  l’heure quelle crĂ©ance mĂ©rite cette affirmation audacieuse. Quant Ă  ses Ɠuvres, ils mentionnent trois de ses tableaux et croient s'acquitter envers lui en le proclamant le Titien de l'Ă©cole moderne hollandaise15». Il faut, certes, remercier, malgrĂ© les inexactitudes de leur rĂ©cit et leur trop discret laconisme, les deux auteurs nĂ©erlandais d'avoir, aprĂšs une si longue attente, remis enfin notre grand peintre Ă  la place qui lui Ă©tait due; toutefois, ce serait peut-ĂȘtre un peu forcer la note que de leur en laisser tout le Si les biographes s'Ă©taient tĂ» avec une singuliĂšre persĂ©vĂ©rance pendant prĂšs d'un siĂšcle et demi, les oeuvres de Vermeer n'avaient point imitĂ© leur inqualifiable silence. Chaque fois que l'une d'elles s'Ă©tait manifestĂ©e, elle avait parlĂ©, et parlĂ© avec une forte Ă©loquence. Beaucoup de ses tableaux, il est vrai, avaient subi le sort que nous signalions tout Ă  l'heure on les avait dĂ©marquĂ©s, altĂ©rĂ©s, mutilĂ©s, rendus mĂ©connaissables et attribuĂ©s Ă  d'autres maĂźtres. Mais chaque fois qu'il en passait en vente un bien pur et bien authentique, non seulement les enchĂšres le saluaient, solides et nourries17, mais les experts avaient grand soin de proclamer bien haut le talent et la valeur de l'artiste. C'est ainsi que l'expert Le Brun, en 1809, le dĂ©clarait un trĂšs grand peintre dans la maniĂšre de Metzu», et que, sept annĂ©es plus tard, un autre expert, PĂ©rignon, dans le catalogne de la premiĂšre vente LapĂ©riĂšre, lui reconnaissait le talent de rendre, dans une maniĂšre large, le fini de la nature, la diffĂ©rence des objets, le soyeux des Ă©toffes par la justesse de ses teintes et de l'effet.» À demeure dans une galerie princiĂšre ou dans une collection privĂ©e, l'effet produit par lui n'Ă©tait guĂšre moins grand. Chacune de ses oeuvres resplendissait d'un tel Ă©clat, se manifestait avec tarit d'ampleur qu'Ă  sa vue les gens du mĂ©tier s'arrĂȘtaient Ă©tonnĂ©s, surpris, Ă©mus et se croyaient obligĂ©s de constater l'Ă©vidente supĂ©rioritĂ© de cet inconnu. C'est ainsi que Reynolds, qui devait se sentir de pressantes affinitĂ©s pour ce ne manque pas de mentionner sa Femme transvasant du lait18, parmi les tableaux qui l'ont le plus frappĂ© en Hollande19. C'est ainsi que, dans des temps plus modernes, des critiques fort compĂ©tents eux aussi, mais non moins touchĂ©s par la puissance de cet admirable artiste, lui ont payĂ© leur juste tribut d'Ă©loges. M. Maxime Du Camp en 1857 Revue de Paris, ThĂ©ophile Gautier, en 1858 Moniteur, M. Paul Mantz, en 1868 Gazette des Beaux-Arts, M. ClĂ©ment de Ris, en 1872 Moniteur, rendent Ă  Vermeer toute la justice qui lui est due. Quant Ă  M. Viardot, la prĂ©caution qu'il prend de nous inviter Ă  ne pas confondre Johannes Vermeer avec le vieux GĂ©rard van der Meir, qui fut, comme chacun sait, Ă©lĂšve des Van Eyck, si elle dĂ©cĂšle un bon naturel, ennemi de toute complication inutile, elle prouve aussi que l'oeuvre mutilĂ©e de notre grand artiste avait frappĂ© l'auteur des MusĂ©es de Hollande. Toutefois c'est Ă  ThorĂ©, ou plutĂŽt Ă  W. BĂŒrger, car c'est sous ce nom de guerre que notre regrettĂ© collaborateur entreprit sa campagne d'exhumation, c'est Ă  W. BĂŒrger que Johannes Vermeer est redevable de sa rĂ©habilitation, et c’est Ă  lui qu'il faut en faire honneur. C'est Ă  BĂŒrger, en effet, qui, avec une conviction, une ardeur, une passion qu'on ne saurait trop louer et trop admirer, s'est attachĂ© Ă  dĂ©couvrir une Ă  une et Ă  mettre en lumiĂšre les Ɠuvres de ce peintre inconnu, c'est Ă  lui, c'est Ă  ses constantes investigations que nous devons d'avoir retrouvĂ© une vingtaine d'Ɠuvres bien authentiques de ce maĂźtre si puissant et si fort, c'est Ă  son infatigable dĂ©vouement qu'il faut attribuer le lĂ©gitime et grandissant intĂ©rĂȘt qui s'attache aujourd'hui aux ouvrages de ce maĂźtre si rare et si parfait. Une seule chose a manquĂ© Ă  BĂŒrger, c'est de pouvoir, en fournissant quelques dates certaines, limiter la vie de son peintre de prĂ©dilection, de ce sphinx», comme il aimait Ă  l'appeler. C'est cette lacune que nous venons combler aujourd' Rien n'est plus intĂ©ressant, passionnant mĂȘme, que la chasse au document, surtout quand elle a lieu sur un terrain incertain, mal connu et qui se dĂ©robe Ă  chaque instant sous les pieds du chasseur. DĂšs sa rĂ©solution arrĂȘtĂ©e de percer les tĂ©nĂšbres qui entouraient son sphinx», BĂŒrger fut fort embarrassĂ© et se trouva aux prises avec une prodigieuse quantitĂ© de Jan Van der Meer, car aucun nom n'est plus commun en Hollande. Tout d'abord, rien que parmi les maĂźtres du XVIIe siĂšcle, il en rencontra quatre ayant maniĂ© le pinceau 1°Jan van der Meer, d'Utrecht, qui a peint de grands tableaux et des portraits; 2° Jan van der Meer, de Haarlem, surnommĂ© le Vieux, paysagiste, et 3° Jan van der Meer, de Haarlem, surnommĂ© le Jeune, Ă©galement paysagiste, mais dans le goĂ»t de Berchem, et enfin 4° Jan van der Meer, de Delft. Il lui fallut avant tout faire la part de chacun d'eux. Son embarras se serait encore accru s'il avait pu fouiller les archives de Delft et sonder les profondeurs de son Ă©tat civil, pour ne parler que des contemporains de notre peintre, des van der Meer qui habitaient de son temps sa ville natale. Il se serait heurtĂ©, en 1640, Ă  un Jan van der Meer, pharmacien, demeurant sur le Voldersgracht; en 1647, Ă  un Jan Jansz van der Meer, veuf consolĂ© qui logeait sur l'Out Beyerlant; en 1648, Ă  un Jan Cornelisz van der Meer, non moins veuf, mais Ă©galement consolĂ©, et de plus chapelier de son Ă©tat, ayant son domicile dans la Buitenketelpoort; en 1665, il aurait pris connaissance de l'hĂ©ritage de Jan Reyers van der Meer, et, en 1680, de celui de la femme du scleoolmeester Johannes van der Meer, etc., etc., complication assurĂ©ment inattendue, et qui n'aurait pas manquĂ© d'augmenter le dĂ©sarroi dans lequel il se trouvait plongĂ©. Mais BĂŒrger fut plus sage. Il ne s'aventura pas lui-mĂȘme dans les archives de Delft. II alla aux renseignements, s'adressa au gardien attitrĂ© du trĂ©sor et fut Ă©conduit avec une bonne grĂące si parfaite, qu'il demeura convaincu de l'impossibilitĂ© de rien arracher Ă  ce prĂ©cieux dĂ©pĂŽt ni au cerbĂšre qui le gardait. Les archives de Delft ont Ă©tĂ© dispersĂ©es, Ă©crit-il de la meilleure foi du monde, surtout dans la partie qui concerne le XVIIe siĂšcle, et, malgrĂ© les recherches que l'archiviste a bien voulu faire, on n'a rien trouvĂ© sur la naissance et la mort de Van der Meer.» La vĂ©ritĂ© est que l'Ă©tat civil de la ville de Delft est des plus complets, et qu'aucune recherche sĂ©rieuse et intelligente n'a Ă©tĂ© faite par l'archiviste dont parle BĂŒrger, sans quoi cet archiviste n'eĂ»t pas manquĂ© d'y apercevoir ce que moi-mĂȘme, pauvre Ă©tranger, je devais y dĂ©couvrir en 1877 et ce que plus rĂ©cemment y a retrouvĂ© M. O Obreen, c'est-Ă -dire la date de naissance, la date de mariage et la date de mort de notre peintre. La vĂ©ritĂ©, c'est que la partie des archives de Delft qui regarde la Burgerlijke Stand, c'est-Ă -dire l'Ă©tat civil, ne compte pas moins de cent soixante-quinze registres qui vont de l'annĂ©e 1575 Ă  l'annĂ©e 1808 sans presque prĂ©senter de lacune. La vĂ©ritĂ©, c'est que sachant la confession des individus, il n'est nullement impossible, lorsqu'on veut s'en donner la peine et qu'on peut y consacrer le temps nĂ©cessaire, de retrouver les renseignements dont on a besoin, et je suis certain que ce n'est pas l'archiviste actuel, mon excellent ami J. Soutendam, qui me dĂ©mentira. Il est Ă  supposer, toutefois, qu'on aura commencĂ© Ă  chercher Ă  l'annĂ©e indiquĂ©e par Bleyswijck et que, ne trouvant pas de Vermeer ni de Van der Meer Ă  cette annĂ©e-lĂ , on ne sera pas allĂ© plus loin. Mais le fait n'Ă©tait pas pour dĂ©courager un chercheur expert tous ceux qui ont pratiquĂ© les archives hollandaises savent bien que jusqu'Ă  la seconde moitiĂ© du XVIIe siĂšcle les noms de famille figurent trĂšs rarement et Ă  l'Ă©tat absolument exceptionnel sur certains registres de l'Ă©tat civil. Il fallait donc tĂącher de savoir quel avait Ă©tĂ© le prĂ©nom du pĂšre de notre peintre. Eh bien, ce prĂ©nom nous devait ĂȘtre livrĂ© par la mention matrimoniale de Jan Vermeer. Cette mention, en effet, nous apprend que son pĂšre s'appelait Reynier. DĂšs lors, plus d'erreur possible, et nos lecteurs se souviennent que, il y a six ans bientĂŽt, nous donnions dans la Chronique20 le texte mĂȘme de cet acte de naissance ci vainement cherchĂ© par le paresseux archiviste et dĂ©couvert par nous. Cet acte est conçu comme suit Dito 31 octobre 1632. I kint Joannis, vader ReynierJanssoon, mƓder Dingnum Balthazars Getuygen Pieter Brarnmer, Jan Heyndrickz, Maertge Jans. C'est-Ă -dire Dito du 31 octobre 1632. Un enfant, Joannis, le pĂšre est Reynier fils de Jean, la mĂšre Dingnum, fille de Balthazar, les tĂ©moins sont Pieter Brammer, Jan, fils d'Heyndrick, et Marthe, fille de Jan. Ce Joannis ou Jan Ă©tant, dans l'annĂ©e 1632, — annĂ©e indiquĂ©e par Bleyswijck — le seul fils de Reynier mentionnĂ© par l'Ă©tat civil de Delft, il Ă©tait donc clairement Ă©tabli que c'Ă©tait bien lĂ  la dĂ©claration de naissance de notre peintre; toutefois un doute pouvait encore subsister. Aujourd'hui il n'existe plus une mention mortuaire produite rĂ©cemment par M. O. Obreen est venue confirmer notre dĂ©couverte. Cette mention est relative Ă  la mĂšre de notre peintre; en voici la teneur Begraven in de nieutve kerk 13 february 1670, Dyna Baltens, weduwe van Reynier Vermeer in de Vlamingstraet. Je traduis Enseveli dans la nouvelle Ă©glise le 13 fĂ©vrier 1570, Dyna Baltens, veuve de Reynier Vermeer, demeurant dans la Vlamingstraet. Dyna Ă©tant l'abrĂ©viation de Dingnum et Baltens celle de Balthasars, il n'y a plus de place pour le moindre doute. La seconde mention d'Ă©tat civil relative Ă  Johannes Vermeer rencontrĂ©e par nous sur les registres de l'Ă©tat civil de Delft est celle de son mariage. Nous la relevons sur les registres de l'hĂŽtel de ville, Ă  la date du 5 avril 1653 Johannes Reyniers Z. Vermeer opt Martvelt, Catharina Bolenes J. D. mede aldaer C'est-Ă -dire Johannes, fils de Reynier Vermeer, jeune homme demeurant sur le marchĂ© avec Catharina Bolenes, jeune fille, au mĂȘme endroit. Et, en marge, on lit attestatie g. g. op Schepl, den 20 april 1653. Stadthuys. Attestation donnĂ©e par le corps des Ă©chevins le 20 avril 1653. HĂŽtel de ville. VoilĂ  notre Vermeer mariĂ©, il a vingt et un ans. Le premier recueil de documents oĂč il nous va apparaĂźtre maintenant ne figure plus Ă  l'Ă©tat civil de Delft, mais Ă  la bibliothĂšque royale de La Haye Ce recueil se nomme le MeestersbƓrk — ou le livre de maĂźtrise — de la gilde de Saint-Luc. Il nous apprendra que c'est l'annĂ©e mĂȘme de son mariage que notre peintre se fit recevoir maĂźtre. Schilder, den 29 December 1653. Johannis Vermeer heft hem dƓn aenteijkenen als meester schilder, sijnde burger en heeft op sijn meester geldt betaelt 1 gul 10 stuyv rest 4 gul 10 st. — Den 24 July 1656 in alles betaelt. Traduisons Peintre Le 29 dĂ©cembre 1653. Johannis Vermeer s'est fait inscrire comme maĂźtre peintre Ă©tant bourgeois, et il a pour son droit de maĂźtrise payĂ© 1 fl. 10 sols, reste 4 fl. 10 Le 24 juillet 1656 il a tout payĂ©. Ce mĂȘme livre de maĂźtrise nous reparle de lui en 1663. Cette fois, ce n'est plus comme simple maĂźtre qu'il figure sur les registres de la corporation, mais comme syndic, comme doyen, comme Hooftman, comme chef-homme. Il exerce pendant deux ans ces importantes fonctions 1662-1663, puis il rentre dans le rang pour en ressortir en 1670 et figurer encore, en 1671, parmi les doyens. AprĂšs cela, plus rien. — Ce silence peut sembler extraordinaire si l'on s'en tient Ă  la date mortuaire donnĂ©e par les auteurs de la Vaderlandsche Schilderkunst, c'est-Ă -dire 1696. Mais une vente de tableaux, quelque nombreuse et fournie qu'elle puisse ĂȘtre en Ɠuvres d'un maĂźtre, n'est pas un acte de dĂ©cĂšs, et c'est ce qui nous avait fait estimer et mĂȘme affirmer que Vermeer devait ĂȘtre mort aux environs de 167321. Nous ne nous Ă©tions trompĂ©s que de deux ans. Notre Johanues Vermeer passa de vie Ă  trĂ©pas le 13 dĂ©cembre 1675; il n'Ă©tait, par consĂ©quent, ĂągĂ© que de quarante-deux ans. Voici la copie de la mention mortuaire inscrite Ă  cette date sur les registres mortuaires Jan Vernneer Kunstschilder aen de onde Langedyck in de Kerk. Jean Vermeer, artiste peintre, — demeurant sur la vieille Langedyk, enterrĂ© dans l'Ă©glise la vieille Ă©glise. Et une note marginale indique qu'il laissait huit enfants mineurs. Ainsi se clĂŽt cette carriĂšre si brillante, si nous en jugeons par les rares productions qui ont survĂ©cu du beau talent de Vermeer, par l'estime de ses confrĂšres, par ses contemporains. NĂ© en 1632, mariĂ© en avril 1653, inscrit comme maĂźtre le 23 dĂ©cembre de la mĂȘme annĂ©e, chef-homme de sa corporation en 1662-1663, c'est-Ă -dire Ă  trente ans, de nouveau doyen en 1670 et 1671, mort en 1675. VoilĂ  la restitution complĂšte, intĂ©grale de cette vie que BĂ»rger dĂ©clarait si obscure. Les archives qu'il croyait condamnĂ©es Ă  un mutisme Ă©ternel ont parlĂ©. Le sphinx», comme il aimait Ă  appeler Vermeer, a livrĂ© son secret. Il nous reste Ă  voir maintenant comment ces dates, heureusement retrouvĂ©es, viennent dĂ©truire l'Ă©chafaudage de suppositions qu'on avait Ă©levĂ© autour de cette sympathique figure, et expliquer ses Ɠuvres mieux que ne peuvent le faire les plus ingĂ©nieuses suppositions. Notes 1. TraitĂ© thĂ©orique et pratique des connaissances qui sont nĂ©cessaires Ă  sont amateur de tableaux, etc. Bruxelles, 1808, t. Ier p. 303 2. Beschryvinge der Stadt Delft betreffende des selfs situatie oorsprong en ouderdom, etc. Delft, 1667. 3. Campo Weyermann, faisant allusion Ă  ses vers, traite Arnold Bon de poĂšte de deux sous Een zeker poƓt van deux aas», et ajoute qu'il aurait dĂ» se nommer, non pas bon, mais trĂšs mĂ©chant. 4. Journal des voyages de M. de Monconys. Lyon, 1665-1666, p. 149. 5. De groote schonburgh der nederlantsche konstschilders. Amsterdam, 1719. 6. De Levensbeschryvingen der nederlandsche Kuntschilders. La Haye, 1729. 7. De Nieuwe Schonburg der nederlantsche Kuntschilders. La Haye, 1754. 8. La Vie des peintres flamands et hollandais. Paris, 1753. 9. OEuvres diverses de M. de Piles, de l'AcadĂ©mie royale de peinture et de sculpture. Tome Ier, contenant l'abrĂ©gĂ© de la vie des peintres avec des rĂ©flexions sur leurs ouvrages. Paris, 1767. 10. Anecdotes des Beaux-Arts. Paris, 1776. 11. Geschichte der zeichnenden Kunste in Deutschland und den vereinigten Niederlander. Hannover, 1818. 12. Hans Rudolph Fusslins kritisches verzeichniss. Zurich, 1816. 13. Geschiedenis der vaderlandsche Schilderkunst. Haarlem, 1816. 14. Geschiedenis, etc., t. ler, p. 164. 15 Johannes Vermeer den Titiaan der moderne schilders van de Hollandsche Scholl nƓmen mag» 16. D'autant mieux que RƓland van Eynden, l'un des deux biographes en question, dans le MĂ©moire qui, en 1786, obtint le prix du concours Teyler relatif Ă  la peinture hollandaise, ne mentionne pas encore Vermeer. 17. TĂ©moin la LaitiĂšre, dont nous donnons la gravure, payĂ©e Ă  la vente de Bruyn 1798 4,550 florins, et Ă  la vente Muilman 1813 2,125 florins, prĂšs de 5,000 francs. 18. Aujourd'hui Ă  Amsterdam, dans la galerie Six 19. Voir les Ɠuvres complĂštes du chevalier JosuĂ© Reynolds. Paris, 1806. — Voyage en Flandre, en Hollande, Ă  DĂŒsseldorf, t. II, p. 338. 20. AnnĂ©e 1877, n° 43. 21. Voir Histoire de la peinture hollandaise, Paris, A. Quantin, Ă©diteur, p. 488.

retrouver les pinceau et la peinture de vermeer